Les corrections sont censées ouvrir les yeux et cela semble avoir fait effet sur la jeune camerounaise appelée Cynthia Fiangan. Cette dernière a brillé sur les réseaux sociaux à cause de ses sextapes qui ont été diffusées. Si elle prenait son pied en faisant cela, aujourd’hui, elle en a tiré des leçons.
La jeune Biloa Atangana Brigitte Christelle libérée depuis mercredi 19 octobre 2022 a apparemment appris de ses erreurs. Cynthia qui se relève de cette période de cette vie, a récemment fait des confidences sur ses initiatives obscènes qui ont secoué la toile il y a plusieurs mois.
LIRE AUSSI : Les dernières nouvelles de Cynthia Fiangan
L’auteure de nombreuses vidéos sextapes sur les réseaux sociaux, Cynthia Fiangan, après sa sortie de la prison, a révélé avoir appris de ses erreurs. Cette période controversée fait désormais partie de sa jeunesse. La jeune camerounaise s’est exprimée dans une vidéo atterrie sur la toile.
Elle a déclaré ceci :
“Tous ce que je faisais là c’était la jeunesse. Un homme qui te demande les nudes ne t’aime pas.
🚀Annonces pour Nos Partenaires !
Créez votre site web professionnel à un prix imbattable avec 3Vision-Group.
Découvrez l'OffreCommandez une application mobile sur mesure et transformez vos idées en réalité !
Commandez MaintenantDu jour au lendemain il peut balancer ça sur la toile. Certes je les faisais pour envoyer à mes dragueurs mais ils m’ont trahie et ils sont partis.
Je suis tellement fière de moi aujourd’hui, la vie m’a enseigné. Prenons l’exemple sur la vie de nos parents , ils n’avaient pas besoin de ça.
La jeunesse camerounaise doit prendre conscience et évoluer car envoyé les nudes à un mec n’est pas censé.
LIRE AUSSI : Cameroun : De prison, la tiktokeuse Cynthia Fiangan revient sur les accusations avec une autre vidéo
Le corps de la femme est sacré. Le c0rps de la femme est le berceau de l’humanité”, a déclaré Cynthia Fianga
La jeune Cynthia a été placée en détention à la prison centrale de kondengui en juillet dernier pour publication de vidéos obscènes. Selon nos sources, des chefs d’accusations retenus contre elle renvoient à l’outrage public à la pudeur, l’outrage public aux mœurs et de publications obscènes réprimés par les articles 263, 264 et 265 du Nouveau Code de Procédure Pénale du Cameroun.