Le roi du Maroc, Mohammed VI, est apparu, ce vendredi, sur des images qui ont fait le tour de la planète, alors qu’il recevait sa première dose de vaccin contre la maladie à Coronavirus. Seulement, le Mohammed VI qui a été vu en train de se faire vacciner fait l’objet de sérieuses inquiétudes. Pourquoi ?
La pandémie de Coronavirus, qui frappe le monde entier, est au cœur de toutes les préoccupations. Et la maladie impose des normes de vie allant du respect des mesures barrières à l’isolement. Ce qui fait que beaucoup s’affichent de moins en moins, surtout en public. C’est le cas de nombreux dirigeants, et le roi Mohammed VI du Maroc ne fait pas exception à cette mesure restrictive d’auto-confinement partiel.
Cela fait en effet un bon bout de temps que le roi du Maroc n’est pas vu de près, très près. A part quelques apparitions, alors que le souverain, le 23ème de la dynastie alaouite, préside des séances, le visage blotti derrière un cache-nez, le corps enveloppé dans des habits qui ne laissent rien présager. Du moins, qui ne laissent rien transparaître, au point d’avoir une idée claire de l’état de santé physique du roi Mohammed VI.
Jusqu’à ce jour, vendredi 29 janvier 2021, lorsque le roi a été photographié, en train de se faire vacciner contre le Coronavirus, à travers le lancement de la campagne marocaine de prévention contre la pandémie. En effet, c’est un autre Mohammed VI qui est apparu sur les images, complètement métamorphosé. Mohammed VI a fondu, comme on dit. Le roi a… vachement maigri. Un amaigrissement qui peut être rattaché à des ennuis de santé, certes. Mais lesquels ?
On sait toutefois que le roi avait été opéré avec succès, au mois de juin dernier, dans son palais de Rabat. Une intervention chirurgicale qui se serait bien passée, d’autant que c’était fait sur un cœur sain. De toute évidence, le roi Mohammed VI n’a plus sa santé d’antan. Il est malade. A quel degré ? C’est là toute la question. Une chose est tout de même sûre, il y a bien lieu de s’inquiéter pour la santé de ce roi, dont l’importance en Afrique et dans le monde n’est plus à prouver.