Le département d’État américain a révélé le 8 mars que des fonctionnaires et sous-traitants de l’Agence américaine pour le développement international (USAID), en mission d’évaluation du développement et de la gouvernance au Zimbabwe, ont été expulsés en février. Matthew Miller, porte-parole du département, a qualifié ces expulsions de « flagrantes, injustifiées et inacceptables » dans un communiqué publié sur le site officiel de l’institution.

Selon les informations fournies par Miller, malgré cette mesure controversée, les États-Unis demeurent engagés à soutenir le peuple zimbabwéen. Miller a souligné que cet engagement persiste dans le cadre d’un effort continu visant à établir une société démocratique plus inclusive, avec des dirigeants politiques et des institutions gouvernementales responsables.

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Cette expulsion intervient dans un contexte déjà tendu entre les États-Unis et le Zimbabwe. Plus tôt, Washington avait décidé de prolonger ses sanctions contre le Président zimbabwéen Emmerson Mnangagwa et certains autres hauts responsables. Les raisons exactes derrière cette décision n’ont pas été explicitement énoncées dans le communiqué de Matthew Miller, mais elles soulignent une divergence persistante entre les deux nations.

Les États-Unis maintiennent leur position ferme malgré ces tensions, affirmant leur soutien continu au peuple zimbabwéen. L’accent est mis sur la construction d’une société démocratique inclusive, et les autorités américaines encouragent la responsabilité des dirigeants politiques et des institutions gouvernementales dans le processus de développement du pays.

La situation diplomatique entre les États-Unis et le Zimbabwe reste donc tendue, avec des conséquences potentielles sur les relations futures et les initiatives de développement dans la région. Les observateurs internationaux surveillent de près l’évolution de ces événements et les implications qui en découleront.