L’incident de Negreira a provoqué un tollé en Espagne pendant des semaines. L’UEFA examinera cette histoire de très près s’il existe un délai de prescription factuel au niveau national. Le FC Barcelone a versé plus de 7 millions d’euros à Enriquez Negreira, qui était vice-président de la Commission technique des arbitres (CTA). Comme si cela ne suffisait pas, un autre scandale pourrait éclater de l’autre côté des Pyrénées.

Selon le média El Debate, le procureur anti-corruption a reçu un rapport de 55 pages sur les avoirs détenus par quatre arbitres principaux : Carlos Clos Gómez, Santiago Jaime Latre, Alejandro Hernández et José María Sanchez Martinez. Ces noms ne vous disent peut-être rien, mais le premier est le VAR faisant allusion à la fédération.

Nouveau scandale arbitral en approche en Espagne

Le dernier a été nommé arbitre de la finale de la Copa del Rey de ce week-end entre le Real Madrid et Osasuna, et est soutenu par la VAR. Sans recourir à des emprunts bancaires, ces quatre arbitres auraient construit un important portefeuille immobilier d’appartements de luxe, de villas foncières et même de parkings. Plus surprenant encore, ces acquisitions ont été réalisées en numéraire. Par exemple, Clos Gómez détiendra un total de 7 propriétés d’une valeur supérieure à 1 million d’euros. Sanchez Martinez aurait acheté une maison d’une valeur de 6,55 millions d’euros en 2019. Les responsables de l’application des lois tentent de trouver des moyens pour ces arbitres de la Liga de collecter ces sommes en espèces.

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