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La vérité sur les dettes de jeu de 50 millions de dollars du chanteur Bruno Mars

Publié le 21/03/2024 - 05:5921 mars 2024

Texte par : Echo Web Afrique

2 min

Les rumeurs sur la toile ont la tête dure, car une fois qu’elles apparaissent, il est difficile de les stopper ou de faire croire le contraire. Ces derniers jours le chanteur américain Bruno Mars s’est retrouvé au centre de l’une de ces rumeurs folles au point où les intéressés ont dû s’empresser de mettre les choses au clair.

Bruno Mars en partenariat avec MGM

Selon la rumeur, le chanteur serait addict aux jeux d’argent et il serait même endetté à hauteur de 50 Millions de dollars auprès de MGM, une société de divertissement célèbre à Las Vegas. De nombreux sites sérieux et des pages sociales ont aussitôt repris cette information qui a d’ailleurs fait naître une salve de railleries à l’encontre du chanteur. Cependant, il n’y aurait rien de vrai derrière toute cette agitation.

En effet, le média NewsNation aurait délibérément mis le feu aux poudres, arguant qu’un initié de Las Vegas a confié ces informations plus ou moins compromettantes sur Bruno Mars. La rumeur disait notamment que le chanteur était censé encaisser 90 millions de dollars par an dans le cadre d’un accord conclu avec MGM.

Cependant, il aurait aussi une dette de jeu allant jusqu’à 50 millions et plus les impôts à payer sur ces revenus, seulement 1,5 million de dollars lui restait après chaque prestation.

Des précisions venant de MGM

L’histoire serait fausse selon la société de divertissement MGM qui confirme quand même l’existence d’un accord avec le chanteur. Le média UNILAD a pris l’initiative d’aller à la source et un porte-parole du groupe s’est en effet prononcé sur la rumeur.

» Le partenariat de MGM et Bruno est de longue date et ancré dans le respect mutuel… Toute spéculation est complètement fausse ; il n’a aucune dette avec MGM. Ensemble, nous sommes ravis de continuer à créer des expériences inoubliables pour nos invités. » a-t-il déclaré. Voilà qui met fin au débat, mais pas sûr que la vraie information fasse autant tabac que la rumeur et c’est la loi des réseaux sociaux !

Source : UNILAD