Une étudiante refuse un héritage de 16 milliards de FCFA

Une étudiante refuse un héritage de 16 milliards de FCFA

Doingbuzz 15 janvier 2024 2 min Aucun commentaire

Marlene Engelhorn, une étudiante héritière de la fortune du fondateur de BASF, refuse un héritage de 16 milliards de FCFA. La raison peut vous choquer. Allons à la découverte de cette histoire qui choque plus d’un sur les réseaux sociaux.

Dans un acte de défi remarquable contre l’accumulation de richesses, Marlene Engelhorn, 31 ans en Autriche, a attiré l’attention pour sa décision de rejeter un héritage substantiel et de redistribuer les fonds à ceux qui en ont besoin.

 

Une étudiante modeste, descendante du fondateur de BASF prend position

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Marlene Engelhorn, une descendante de Friedrich Engelhorn, le fondateur de BASF (l’un des plus grands groupes chimiques au monde), a hérité d’une fortune considérable de 25 millions d’euros (environ 16 milliards de FCFA) à la suite du décès de sa grand-mère en 2022.

Plutôt que d’embrasser une vie d’opulence, Marlène, connue pour son militantisme contre les inégalités de revenus, a décidé de remettre en cause la répartition inégale des richesses dans son pays.

Plaidoyer infructueux auprès du gouvernement autrichien

Exprimant son mécontentement face à la disparité des richesses dans la société, Marlene a déposé une plainte auprès du gouvernement autrichien, l’exhortant à déduire 90 % de son héritage. Cependant, l’Autriche a aboli les droits de succession en 2008 et sa demande a été rejetée. Sans se décourager, elle a continué à exprimer ses griefs, déplorant que le gouvernement ne parvienne pas à assurer une répartition équitable des richesses.

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Une approche unique de la redistribution des richesses

Face aux contraintes imposées par le gouvernement, Marlene a conçu un plan peu conventionnel pour redistribuer sa fortune. Elle a collaboré avec un institut de sondage pour sélectionner au hasard 10 000 personnes qui formeraient un « conseil de redistribution ».

Par la suite, 50 personnes du groupe sélectionné participeraient à des réunions avec des universitaires et des organisations de la société civile. Les participants à ces réunions seraient indemnisés à hauteur de 1 200 euros par week-end.

Critique et débat en ligne

Si la décision de l’héritière autrichienne de redistribuer ses richesses a attiré l’attention et les louanges de certains, elle a également suscité des critiques sur les médias sociaux. Ses détracteurs estiment qu’elle porte atteinte à la richesse de ses grands-parents et suggèrent qu’elle pourrait en venir à regretter sa décision.

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