Les tensions montent entre l’opposition et le gouvernement togolais. En effet depuis quelques mois, un litige concernant les contentieux préélectoraux et les législatives de décembre créent des divisions au pays de Faure.
Face à la situation, la CEDEAO a décidé d’apporter son grain de sel.
Ainsi, l’organisation sous-régionale a donné de la voix par le biais de
la vice-présidente du Parlement de la CEDEAO, Aminata Toungara depuis
Abuja.
Publicité
Aminata a réagi consécutivement à la décision du gouvernement togolais de tenir les législatives en décembre en dépit du boycott de l’opposition qui exige que les conditions pour une élection crédible soient d’abord réunies.
🚀Annonces pour Nos Partenaires !
Créez votre site web professionnel à un prix imbattable avec 3Vision-Group.
Découvrez l'OffreCommandez une application mobile sur mesure et transformez vos idées en réalité !
Commandez MaintenantSelon la vice-présidente, « Précipiter les élections sans une claire définition des règles du jeu, cela ne fait que remettre en cause la paix sociale et la stabilité de l’ensemble de la sous-région. » peut-on lire sur le site de l’institution de la CEDEAO et de renchérir : « Organiser un scrutin sans la participation des principaux partis d’opposition regroupés au sein de la Coalition des 14 partis politiques de l’opposition, cela donne l’impression que le pouvoir ne serait pas capable d’affronter cette opposition dans une compétition transparente et loyale. »
Par ailleurs, l’institution a plaidé par le biais de sa vice-présidente auprès du gouvernement afin de prendre la Feuille de route de la CEDEAO, dans le cadre de la crise togolaise afin de sauvegarder la cohésion nationale.