Au Tchad, le dialogue national inclusif souverain (DNIS) est toujours en souffrance depuis un moment. Il a subi des moments de suspension pour des raisons politiques qui ne devaient pas avoir lieu surtout que ce dialogue ses tiens pour trouver un consensus dans la gouvernance.
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Suspendu pour une fois encore depuis samedi en raison de troubles à Ndjamena, le dialogue national inclusif va-t-il pouvoir reprendre ?
Dimanche soir selon RFI, le blocus du siège du parti les Transformateurs, qui boycotte ce dialogue, a été levé. Les forces de l’ordre qui selon le média français encerclaient le bâtiment depuis jeudi soir ont quitté les lieux et des dizaines de militants arrêtés depuis quatre jours doivent être libérés.
Dans les démarches d’installer un climat de confiance et de paix, le facilitateur pour le compte du Qatar, l’ancien ministre burkinabè des Affaires étrangères, Djibril Bassolé samedi, le groupe des religieux, suivis par le ministre d’État conseiller du président du Conseil militaire de transition se sont rendus au siège du parti d’opposition dimanche en fin de journée.
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Après ces démarches, les véhicules militaires ont commencé à quitter le siège du parti les Transformateurs un peu avant minuit selon RFI.
Ainsi, les personnes interpellées devraient aussi être libérées ce lundi matin. Ce qui donne l’accès aussi à la reprise des travaux du dialogue national inclusif avec l’examen du projet d’agenda. Un agenda qui, s’il est adopté, indique que le dialogue national inclusif se termine le 5 octobre 2021.
Espérons que ce dialogue national inclusif souverain se termine bien dont les résultats tiennent en compte de l’exclusivité des maux qui gangrènent le pays. Qu’il amorce un nouveau départ de réconciliation donnant accès aux élections crédibles et transparentes.
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