La plus haute juridiction sri-lankaise a autorisé l’ouverture de poursuites contre l’ancien président Gotabaya Rajapaksa, a annoncé vendredi le groupe de défense des droits de l’homme qui a porté plainte contre lui dans un communiqué.
Le tribunal a également accepté d’autoriser des poursuites contre l’ancien Premier ministre Mahinda Rajapaksa, son ancien ministre des Finances et deux de ses anciens gouverneurs de banque centrale.
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Le président déchu du Sri Lanka, Gotabaya Rajapaksa, est rentré vendredi 2 septembre à Colombo, mettant fin à son exil en Thaïlande, sept semaines après avoir dû fuir le pays. Des manifestations de protestataires ont secoué le pays.
Gotayaba Rajapaksa disposait d’un visa de 90 jours pour rester en Thaïlande. Malgré cela, il a choisi de rentrer avec sa femme, un garde du corps et un autre assistant, a indiqué le fonctionnaire.
La Constitution sri-lankaise garantit des gardes du corps, un véhicule et un logement aux anciens présidents.
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