Achraf Hakimi, joueur du Paris Saint-Germain, mis en examen pour viol dans une affaire remontant à mars 2023, n’a pas participé à l’entraînement le 8 décembre. Les rapports suggèrent que Hakimi a été impliqué dans une audience juridique liée aux allégations de viol, où il a été confronté à la victime présumée.
L’arrière marocain nie les accusations. En effet, l’affaire est basée uniquement sur les déclarations de l’accusatrice. Les développements juridiques coïncident avec l’absence de Hakimi à la séance d’entraînement du PSG, le joueur cherchant à répondre aux allégations à son encontre.
Audience juridique sur fond d’accusation de viol
L’absence d’Achraf Hakimi à l’entraînement du Paris Saint-Germain le 8 décembre a été attribuée à des « raisons personnelles », mais des rapports indiquent que le joueur était impliqué dans une audience juridique concernant les allégations de viol portées contre lui en mars 2023.
Lire aussi : Affaire Hakimi : Hiba Abouk partage un message inspirant après la tempête
🚀Annonces pour Nos Partenaires !
Créez votre site web professionnel à un prix imbattable avec 3Vision-Group.
Découvrez l'OffreCommandez une application mobile sur mesure et transformez vos idées en réalité !
Commandez MaintenantL’acte d’accusation découle des accusations d’une jeune femme, qui affirme que Hakimi l’a embrassée et touchée sans son consentement à son domicile de Boulogne-Billancourt.
La victime maintient ses accusations contre Achraf Hakimi
Me Rachel-Fleur Pardo, avocate de la victime, a confirmé que sa cliente maintient la véracité de ses déclarations et se porte partie civile dans l’affaire. Malgré le démenti de Hakimi, la victime présumée maintient ses accusations. La procédure judiciaire comprend une confrontation entre Hakimi et l’accusatrice, qui a eu lieu le 8 décembre, un jour avant le match du PSG contre le FC Nantes en Ligue 1.
Lire aussi : Kylian Mbappé confie un secret à Achraf Hakimi sur son avenir !
Achraf Hakimi a toujours nié les allégations de viol, demandant une confrontation avec la victime présumée au début de l’enquête. Son avocat affirme que le dénonciateur a refusé de porter plainte, de subir des examens médicaux ou psychologiques ou de participer à une confrontation. La défense soutient que Hakimi a été la cible d’une tentative d’extorsion dans cette affaire, soulignant les divergences dans les actions de l’accusateur.