La musique Ivoirienne est à nouveau en deuil. Larry Cheick, l’un de ses plus anciens ambassadeurs est décédé ce vendredi, après plusieurs jours d’hospitalisation.
L’on ne reverra plus Larry Cheick sur les scènes ivoiriennes, encore moins dans les studios d’enregistrement. L’artiste qui était hospitalisé depuis plusieurs jours au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Cocody, à Abidjan, est décédé ce vendredi 5 juillet. En 2016, l’artiste a été amputé d’une jambe, des suites d’un cancer qu’il a traîné pendant longtemps.
🚀Annonces pour Nos Partenaires !
Créez votre site web professionnel à un prix imbattable avec 3Vision-Group.
Découvrez l'OffreCommandez une application mobile sur mesure et transformez vos idées en réalité !
Commandez MaintenantAu CHU de Cocody, où il recevait des soins, l’auteur du titre a succès dans les années 90 « Feriman », était plongé dans un coma de quelques jours. Sa mort est intervenue alors qu’il venait de sortir de sa léthargie et avait commencé à redonner espoir a ses proches.
Rentré à Abidjan pour y continuer sa rééducation entamée en France, grâce notamment à Alpha Blondy, Diabaté Seydou a rangé le micro à jamais. Sa disparition est une grande perte pour la musique ivoirienne, particulièrement, le reggae. Larry Cheick comptait une dizaine d’albums à son actif, dont « Sarajevo crime » en 1984, « Code pénal » en 1993, « Djandjou Star », « les 10 commandements de Dieu » en 1994, et « procès » en 2002.