Adrien Rabiot est souvent rattaché à sa mère Véronique, qui dicte sa carrière pour le meilleur comme pour le pire. Le meilleur, c’est ce premier contrat professionnel signé au Paris Saint-Germain en 2012, là où beaucoup de titis du centre de formation n’ont pas vu l’ombre d’un stylo.

Le pire, ce sont toutes ces casseroles que le milieu de la Juventus Turin traîne dans ses bagages en raison de l’omniprésence de sa génitrice et agent dans son quotidien de footballeur. Car, si elle peut paraître envahissante, Véronique Rabiot est surtout protectrice, notamment en raison d’un contexte familial douloureux.

Dernier accroc en date, le clash dans les tribunes avec la maman de Kylian Mbappé, laquelle est revenue dans Le Parisien sur cet épisode malencontreux du dernier championnat d’Europe.

Un peu à part dans les vestiaires de l’équipe de France, assez détaché des critiques, Adrien Rabiot fait pourtant partie intégrante du dispositif tactique de Didier Deschamps. Sa tignasse, son allure désinvolte et ses passes latérales étaient ainsi de la partie lors de la victoire au forceps des Bleus contre la Belgique (3-2), lors de la demi-finale de la Ligue des nations, le 7 octobre dernier.

Malheureusement pour le sélectionneur tricolore, il ne pourra pas reconduire contre l’Espagne son milieu défensif, testé positif à la Covid-19, selon des informations de la FFF. Placé à l’isolement, le « Duc » ne ralliera pas Milan avec ses coéquipiers et devra observer un break avant de refouler les terrains. Mais l’isolement, ça le connait, lui qui a pris un appartement à l’écart de Turin et sort peu avec les autres joueurs.

Avec Voici