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La Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a annoncé la convocation d’un nouveau sommet, suite à la situation préoccupante au Mali et au Burkina Faso. En parallèle, les gouvernements du Mali et du Burkina Faso ont également annoncé l’envoi d’une délégation à Niamey.

La convocation de ce sommet intervient suite à une détérioration de la situation sécuritaire dans ces deux pays. Le Mali, en proie à des attaques terroristes récurrentes, fait face à une situation critique. Le Burkina Faso, quant à lui, est confronté à une augmentation des attaques terroristes et à des troubles internes, mettant en péril la stabilité régionale.

Dans cette optique, la CEDEAO a estimé nécessaire de réunir les chefs d’État de la région afin de discuter des mesures à prendre pour faire face à cette situation. Ce sommet sera l’occasion de renforcer la coopération et la coordination régionales dans la lutte contre le terrorisme et l’insécurité.

Parallèlement à la convocation de ce sommet régional, le Mali et le Burkina Faso ont décidé d’envoyer une délégation à Niamey. Cette démarche vise à échanger avec les autres États membres de la CEDEAO sur les défis et les perspectives communes en matière de sécurité.

Il est attendu que ce sommet permette d’élaborer des stratégies et des plans d’action pour renforcer la sécurité et la stabilité dans la région. La CEDEAO et les pays concernés sont déterminés à coopérer pleinement pour lutter contre le terrorisme et l’insécurité, et pour promouvoir le développement économique et social de la région.

Dans ce contexte, la convocation de ce nouveau sommet et la participation des délégations maliennes et burkinabè à Niamey reflètent l’engagement de la CEDEAO et des pays membres à faire face aux défis sécuritaires actuels. Cette réunion contribuera à renforcer la coopération régionale et à trouver des solutions durables pour assurer la paix et la stabilité dans la région de l’Afrique de l’Ouest.

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