Kendji Girac fait son retour avec un nouveau single après sa blessure par balle

Kendji Girac, le chanteur acclamé de 28 ans, a fait un retour significatif sur la scène musicale avec son nouveau single « Si seulement… », sorti le 30 août. Il s’agit de sa première sortie musicale depuis sa terrible blessure par balle en avril dernier.

Le retour de Kendji Girac avec « Si Seulement… »

Le morceau introspectif, écrit et composé par Vianney et Renaud Rebillaud, est une réflexion profondément personnelle de Girac. Dans la ballade, il chante : « Pardonnez-moi si j’ai préféré me détruire, même si cela signifiait risquer de nuire à mon empire », révélant ses émotions brutes et ses luttes pendant sa convalescence.

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Girac a présenté la chanson via une annonce sincère sur Instagram le 29 août. Dans son message vidéo, il a partagé son parcours de transparence avec les fans, déclarant : « J’ai pris le temps de travailler sur une belle chanson pour dire ce que je voulais vraiment dire au plus profond de mon âme. J’ai fait cette chanson juste pour vous. »

Les luttes passées

La sortie de « Si seulement… » intervient après une période tumultueuse pour le chanteur, qui a dû faire face à une blessure par balle auto-infligée lors d’un incident à Biscarosse, dans les Landes, en avril. L’événement, qui s’est produit au milieu de tensions personnelles et de luttes contre la dépendance, a conduit à une situation mettant sa vie en danger qui a vu Kendji Girac hospitalisé à Bordeaux.

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Girac a été ouvert sur ses difficultés, déclarant : « J’ai failli perdre ma vie, l’amour de ma famille, de mon public, de mes amis. Ma fille a failli perdre son père. » En réfléchissant à ses expériences, il a exprimé le désir de revenir à son vrai moi et de reconstruire sa vie.

Défis juridiques et personnels

Au départ, Kendji Girac a affirmé que la fusillade était une tentative d’impressionner sa compagne, qui envisageait de mettre un terme à leur relation. Cependant, il a ensuite indiqué qu’il n’était pas conscient de ses actes avec l’arme et qu’il n’avait pas l’intention de faire pression sur sa partenaire. La procédure judiciaire a été close après que sa compagne n’a pas estimé avoir été victime de violence psychologique.