Un historien nigérian fait d’intenses révélations qui risquent de bouleverser les chrétiens à travers le contienent africain et le monde. Dans une affirmation surprenante et controversée, un historien a affirmé que Jésus-Christ était un Igbo né et crucifié à Owerri, dans l’État d’Imo, au Nigeria.

L’historien affirme que le véritable nom de Jésus était « Mmanuelu », qui, selon lui, a été corrompu par la suite en « Emmanuel ». Selon lui, la crucifixion n’a pas eu lieu à Jérusalem, comme on le croit traditionnellement, mais à Ugwu Ekwema, à Owerri.

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Cette affirmation remet en question le récit biblique largement accepté et suggère un changement culturel et géographique important dans l’histoire de Jésus-Christ.

Une théorie controversée associe le Jésus-Christ biblique à l’héritage igbo

L’historien établit également un lien entre la fête de l’Iriji, célébration traditionnelle de la nouvelle Yam dans la culture igbo, et la crucifixion de Jésus, ou « Mmanuelu ». Il affirme que cette fête commémorait à l’origine la crucifixion de Jésus, ce qui en fait un aspect central de la tradition et de la spiritualité Igbo.

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En outre, il affirme que le nom du père de Jésus était « Njensoafo », qui, selon lui, a été corrompu en « Joseph » dans les textes bibliques. Cette réinterprétation de la figure historique et religieuse de Jésus-Christ a suscité de nombreux débats et controverses.

Les affirmations de l’historien ont soulevé de nombreux sourcils et suscité des discussions sur l’intersection de la religion, de la culture et de l’histoire. Si certains y voient une théorie intrigante qui mérite d’être explorée, d’autres considèrent qu’elle s’écarte considérablement des enseignements religieux établis. Le débat se poursuit alors que de plus en plus de personnes s’intéressent à cette perspective provocante sur les origines et l’identité de Jésus-Christ.