Le Ghana ne plaisante pas avec l’homosexualité. Ce phénomène qui gagne du terrain n’a pas droit de cité sur le sol de Kwame N’krumah. En tout cas, toutes les mesures sont prises malgré l’environnement marqué par une confrontation avec les concernés.
Lee directeur général de la police (IGP), M. James Oppong-Boanuh, est de son côté, très déterminé à réprimer les activités des homosexuels. Pour arriver à se faire entendre, le chef de la Police rappelle simplement le code pénal du Ghana qui criminalise ces relations charnelles contre nature. Des peines de prison sont même prévues pour les contrevenants.
« Tant que ces lois resteront en vigueur, la police les appliquera », a déclaré l’IGP, qui a averti que toute personne ayant enfreint les lois du pays sera traitée sans crainte ni faveur comme le rapporte LSI AFRICA.
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Commandez MaintenantQuelques jours plus tôt, le ministre des affaires étrangères, Mme Shirley Ayoko B. avait tenu des propos similaires. Elle a dit clairement que pour rien au monde, le Ghana ne légalisera l’homosexualité. A y voir de près, c’est une réponse ferme aux États-Unis. En effet, le nouveau président Joe Biden a menacé de sanctionner tout État qui n’a pas de dispositions juridiques protégeant les homosexuels et consorts.
Même ce dimanche 28 février 2021, le président ghanéen, Nana Akufo-Addo a affirmé que l’homosexualité ne sera jamais toléré tant qu’il sera au pouvoir.