Ghana : les forces de l’ordre ferment un centre d’homosexuels

 

Les homosexuels ne sont pas bien accueillis au Ghana. Les textes fondamentaux du pays interdisent ces pratiques. Alors que le président du pays de l’Oncle Sam oblige chaque pays a donné une liberté à la communauté LGBTQI, le gouvernement ghanéen est à fond dans une chasse contre ces groupements sur son territoire. Un centre vient d’être fermé.

« Ce matin, notre centre a été envahi par la Sécurité nationale, à ce jour nous n’avons plus accès à cet espace et notre sécurité est menacée », a écrit sur Twitter la communauté des homosexuels du Ghana. Les forces de l’ordre ONG fermé le centre LGBTQI (lesbienne, gay, bi, trans, queer, intersexuel) à Accra. Une action qui confirme la partie prise par le Ghana dans l’affaire liée à la liberté de cette communauté portée par le président américain Joe Biden.

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« Nous appelons les organisations de défense des droits humains, et nos alliés à condamner ces attaques et les crimes haineux dont nous sommes victimes », a déploré le groupe LGBTQI. La fermeture de leur centre ouvert en janvier n’est que le résultat des appels lancés depuis plusieurs semaines par des responsables religieux de la communauté chrétienne et musulmane.

Asenso Gyambi, le propriétaire de la maison prise comme le centre du groupe des homosexuels estime qu’il ignorait qu’il abritait des LGBTQI. « Je n’étais pas content de ça … J’ai dû le signaler aux agences de sécurité pour qu’ils agissent. Je ne tolérerai pas de telles activités dans ma propriété », a-t-il déclaré à l’AFP. En les abritant, il défie la loi ghanéenne qui qui n’est pas d’accord avec les pratiques homosexuels. La ministre ghanéenne de la diplomatie l’a tout récemment martelé.

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« Les lois du Ghana criminalisent les relations charnelles illégales et donc les lois du Ghana sont définitivement suprêmes et c’est ce à quoi nous adhérons tous », a soutenue Mme Shirley Ayorkor Botchwey devant le parlement.

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