Dani Alves a été condamné à quatre ans et demi de prison pour agression sexuelle, mais après plus d’un an derrière les barreaux, il pourrait être libéré dès cette semaine

En effet, ses avocats ont demandé l’acquittement, estimant que les relations sexuelles étaient consenties. Ce matin, le tribunal de Barcelone doit statuer sur cette demande. Le joueur, lui, est sorti du silence pour réclamer sa libération et assure qu’il n’en profitera pas pour partir au Brésil.

« Je crois en la justice, je ne vais pas fuir », a-t-il déclaré au juge, dans des propos relayés par AS.

Une lueur d’espoir pour Dani Alves

Malgré la sévérité de la peine, il semblerait qu’Alves puisse voir la lumière du jour plus tôt que prévu. Des rapports suggèrent qu’il pourrait être libéré dès le 20 juillet 2023, suscitant un tourbillon de débats et de spéculations.

Alves, qui purge actuellement une peine à la prison de Brians 2, près de Barcelone, est sur le point de bénéficier d’une libération anticipée, sous réserve de considérations judiciaires et de sa conduite pendant son incarcération.

Critères de libération anticipée

En Espagne, il existe une disposition permettant une libération provisoire après avoir purgé seulement un tiers de sa peine, sous réserve d’une bonne conduite et de l’appréciation du juge. Cette clause offre une lueur d’espoir pour Dani Alves, mais souligne la complexité des procédures judiciaires dans des cas aussi graves.

Le fait qu’Alves ait respecté les directives du tribunal, notamment en versant rapidement une indemnité de 150 000 euros à la victime, constitue une circonstance atténuante en sa faveur. Le comportement du footballeur derrière les barreaux peut renforcer ses chances d’obtenir une libération rapide.

Cependant, des incertitudes planent sur le retour potentiel d’Alves au Brésil, ce qui pourrait compliquer les choses et influencer la décision finale concernant sa libération provisoire.

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