Dans un récent épisode de l’émission Peopl’Emik, le pasteur Camille Makosso s’est retrouvé une fois de plus sous les feux de la rampe, malgré ses efforts pour éviter les apparitions télévisées et la controverse.

Camille Makosso pas vraiment impliqué dans son statut de pasteur

L’invité d’honneur de l’émission était Guy Christ Israël, un chanteur ivoirien de renom. Lors de son passage dans l’émission, Israël n’a pas mâché ses mots pour dire ce qu’il pensait du pasteur Makosso.

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Selon le chanteur, la présence de Makosso sur les médias sociaux l’emporte sur son implication dans les affaires de l’église, ce qui amène Israël à remettre en question ses références pastorales. « Je vois Makosso comme un blogueur plutôt que comme un homme de Dieu. Il est plus présent sur les réseaux sociaux qu’à l’église (…) Je n’ai pas encore vu l’église de Makosso Camille », a déclaré Israël, suscitant des moqueries à l’encontre du pasteur.

Makosso, un pasteur plutôt tourné vers l’international

Cependant, rappelons que Makosso lui-même a abordé la question de son absence d’église locale dans une déclaration faite quelques années auparavant. « Le révérend Camille Makosso, à Abidjan, a 2 églises et 12 représentations dans le monde », a-t-il précisé. « Mon rôle, ce sont les croisades. Et quand j’organise une croisade, 15 000 personnes viennent ».

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Le pasteur Makosso a insisté sur l’importance qu’il accorde aux initiatives internationales et aux événements de grande envergure, indiquant ainsi que ses responsabilités dépassent les limites d’une église locale traditionnelle. Malgré les critiques, il reste déterminé dans son approche, laissant même entendre qu’il envisage d’établir une cathédrale à Yopougon.

Alors que le débat autour du pasteur Camille Makosso se poursuit, il est clair que ses méthodes non conventionnelles et sa vision ambitieuse ont suscité à la fois admiration et scepticisme au sein de la communauté. Seul l’avenir nous dira comment son parcours se déroulera dans le domaine de la foi et au-delà.