Lors d’une visite de recueillement au cimetière de Williamsville à Abidjan, la chanteuse ivoirienne Aïcha Koné s’est lancée dans un voyage poignant pour choisir sa dernière demeure. Dans ses propos, la diva ivoirienne a montré de l’attachement la tombe solennelle du défunt chroniqueur de La3, Anaconda.

Accompagnée de son fils, Aïcha a rendu hommage à la modeste demeure d’Anaconda, au milieu d’une série de tombes sombres, tout en réfléchissant à la signification profonde de sa propre mortalité.

La chanteuse ivoirienne Aïcha Koné réfléchit au choix d’une tombe inspirée par Anaconda

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Face aux réactions mitigées suscitées par la tombe d’Anaconda, Aïcha a fermement défendu son choix, affirmant son désir de disposer d’un lieu de repos similaire. « Certaines choses ne s’expliquent pas », a-t-elle déclaré, faisant allusion à des considérations spirituelles plus profondes qui ont influencé sa décision.

S’exprimant sur la tombe d’Anaconda, elle a expliqué ses motivations, citant le désir de rester humble et d’écarter les tentations mondaines face aux épreuves spirituelles.

Aïcha Koné a défendu la tombe d’Anaconda en expliquant : “Y’a des choses qui ne s’expliquent pas. Une autre fois, je prendrai le temps pour vous parler. Mais en ce qui concerne la tombe d’Anaconda, je souhaiterais moi-même avoir une tombe de ce genre parce que nous faisons ça pour éviter la rencontre de l’antéchrist que nous appelons “Dajjal”.

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En gros, c’est ça. Le plus important, c’est ce que le Seigneur nous réserve. La tombe d’Anaconda ne devrait déranger qui que ce soit. On l’a déjà dit: vanité des vanités, tout est vanité. Surtout où il se trouve. Il n’a plus besoin de se changer, de porter des bijoux.”

Au milieu des discussions sur la simplicité de la tombe d’Anaconda, la diva ivoirienne a réitéré la nature éphémère des possessions matérielles, soulignant l’insignifiance ultime des ornements matériels dans l’au-delà.