Une récente vidéo de l’humoriste ivoirien vivant en France, Observateur, a semé la controverse en revendiquant que Didi B et Saraï devraient déjà avoir un enfant depuis leur mariage. Cette sortie a déclenché une série de réactions virulentes, notamment de la part du chanteur et de sa femme, ainsi que des internautes.

La situation a pris une tournure juridique alors que le conseil du rappeur envisage des actions en justice.

La provocation d’Observateur Ebène

Observateur, l’humoriste ivoirien résidant en France, a créé la polémique en publiant une vidéo dans laquelle il remettait en question le fait que Didi B et Saraï n’aient pas encore eu d’enfant, malgré un an de mariage. Cette intrusion dans la vie privée du couple a été mal reçue par le chanteur.

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Les réactions de Didi B et Saraï

Le rappeur n’a pas tardé à répondre à Observateur sur les réseaux sociaux, exprimant son désaccord de manière virulente. Sa femme, Saraï, a également condamné fermement les propos de l’humoriste, qualifiant sa sortie d' »irrespectueuse ». Le couple a clairement exprimé son mécontentement face à cette intrusion dans sa vie personnelle.

Les réseaux sociaux se sont enflammés à la suite de cette polémique, avec de nombreuses personnes exprimant leur soutien au couple Didi B et Saraï. La grande majorité des internautes a condamné l’ingérence d’Observateur dans la vie du couple, considérant que cette affaire relevait de la sphère privée.

Face à la pression croissante, Observateur a présenté ses excuses au couple, mais cela n’a pas mis fin à la tension. Les provocations ont continué, suscitant davantage d’indignation.

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La réponse juridique

Le conseil de l’artiste, composé de son manager et de ses avocats, a réagi fermement à la situation. Ils ont publié un communiqué indiquant qu’ils analysaient en profondeur les publications d’Observateur et qu’une action en justice pourrait être envisagée.

Le communiqué indique clairement : « Les avocats de l’artiste Didi B, Maître Christine Aubert-Maguéro et Maître Tania Shembo se réservent le droit d’engager toute action judiciaire appropriée afin d’obtenir la juste réparation des préjudices subis et la sanction de leur auteur. »